Commentaires

  • Shirley Virga

    1 Shirley Virga Le 22/05/2020

    Je pensais avoir déjà lu cette nouvelle, et en fait non... Bien qu'ayant entendu l'histoire du "Nonon Célestin" en grandissant, la lire ainsi m'a donné les larmes aux yeux ! C'était joliment écrit. Bravo Piot !
  • Jean Marc CINGOLANI

    2 Jean Marc CINGOLANI Le 17/05/2020

    Verdun pour Célestin, Caporetto pour mon grand-père Giovanni né en 1892, merci pour cette petite page de nostalgie en plein confinement. J'avais six ans quand il est mort à Joeuf mais parfois, quand son souvenir me revient mémoire, je sens encore ma petite main dans la sienne quand il m'emmenait en promenade.
    Bien à toi
    Jean Marc
  • Krika

    3 Krika Le 01/05/2020

    Merci pour cette belle histoire, Patrick, tu as un réel talent de conteur. Le vieux Célestin était né en 96... 1896, bien sûr, comme mon grand-père, qui s'est battu dans la Somme pendant la première guerre mondiale. Je ne l'ai jamais connu, il est mort en 1967 (j'avais 6 ans...) mais il avait sûrement en lui, la même force et la même joie de vivre que Célestin...

    Amitiés
  • Alain Ragazzi

    4 Alain Ragazzi Le 29/04/2020

    Salut mon ami,
    Quel plaisir de te re-découvrir après tant d'années...
    Sacré Célestin !!! bien sûr je ne le connais pas, peut être que toi non plus... mais il me semble familier, je le vois, je l'aime bien...
    Ça sent bon la transmission tout ça et en effet, même confinés on ne peut pas se plaindre, cela reste confortable au regard de ce qu'ont vécu les hommes, les femmes à cette époque.
    Poilus ou pas tous ceux de notre génération ont connu de bons petits vieux comme Célestin... Tu nous offres là une belle madeleine de P... atrick. Merci
    Voilà une riche idée que de nous lire ta prose, au moins le ton y est et on peut mieux s'abandonner au vagabondes...
    À la prochaine..." Nouvelle"
  • MORIN Martine

    5 MORIN Martine Le 29/04/2020

    Belle histoire de poilu, ça aurait pu être l'un de mes oncles, mon grand-père et tant d'autres, qui ont traversé une partie du siècle dernier, sans jamais se plaindre, ni raconter les horreurs vécues, mais avaient quand même de la joie dans les yeux et le cœur quand ils étaient avec nous...Merci Patrick pour cette belle histoire.

    Je vais découvrir les autres nouvelles...
    Continuez à écrire pour le plaisir de gens comme moi qui ne savent pas le faire, mais ont une oreille grande ouverte sur le talent des autres...
    Avec mon amitié, si je puis me permettre.

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